Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les civils du Valenciennois dans la Grande Guerre 1914-1918
17 février 2024

Soldats valenciennois décédés au cours du conflit 1870-71

-------------------------------

 Le premier chapitre du livre de Gabriel Piérard sur la Croix-Rouge dans l'arrondissement de Valenciennes, partiellement retranscrit dans le sujet précédent, relate l'action de l'organisme lors de la guerre de 1870, et notamment la première intervention de la croix-rouge auprès des prisonniers de guerre. Les délégués visiteront un certain nombre de camps (loin du nombre de lieux de détentions connus ensuite, voir plus bas) accomplissant ainsi un long périple jusqu'en Prusse Orientale.

 

Périple des délégués
Périple des délégués

 

 La guerre malheureuse de 1870 va susciter la naissance inopinée de la Croix-Rouge à Valenciennes alors qu'elle vient à peine d'être officiellement reconnue par les futurs belligérants. [1863]

 (............)

 Metz vient de capituler [27 octobre 1870 après un siège de plus de 2 mois] ajoutant 150 000 prisonniers supplémentaires à ceux déjà capturés depuis le début de la campagne.
C'est alors que le Comité prend l'initiative sans précédent d'envoyer deux de ses membres en Allemagne pour visiter les camps de prisonniers et secourir les Valenciennois.
Il fallait une belle dose de dévouement et d'opiniâtreté pour mener à bien un tel projet. De larges extraits de lettres du Président Boulan et du rapport publié par son adjoint Fribourg permettent de se rendre compte des difficultés qu'ils ont dû surmonter.

 Le 8 décembre 1870, tous deux franchissent la frontière belge avec un premier wagon contenant plus de 7 000 vêtements. A Bruxelles, l'ambassadeur prussien [Hermann Ludwig von Balan,1812-1874] refuse d'accorder le parcours gratuit sur tous les réseaux ainsi qu'un sauf-conduit en règle. Par contre, Monsieur Peeters, avec qui M. Fribourg est en relation d'affaires, remet à ce dernier une lettre pour son beau-frère, aide de camp du Général commandant la place de Cologne. En outre, un inspecteur belge, M. Ohnet facilite le passage de la frontière au-delà de Liège et nos deux émissaires arrivent le lendemain à Cologne.
Là M. Boulan se fait recommander par les Chevaliers de Malte fort influents en Rhénanie, tandis que M. Fribourg rend visite à son coreligionnaire Schwartz, le Grand Rabbin. Celui-ci le met en rapport avec M. Berger, Président de la Croix-Rouge locale. Ils obtiennent ainsi des recommandations dans les principales villes du Nord où se trouvent des prisonniers, et l'emblème de la Croix-Rouge est apposée sur leur wagon.

 Grâce à un aumônier volontaire, l'abbé de Bras, chargé de lazarets, ils apprennent, en outre, qu'un convoi de mobiles valenciennois faits prisonniers près d'Amiens est passé en gare il y a 2 jours. Ils visitent le camp de Deutz [près de Cologne] où croupissent sous des tentes et dans des baraques en bois environ 35 000 prisonniers. Certains sont encore vêtus de blouses de toile malgré les rigueurs de l'hiver. La dysenterie et le typhus y font des ravages effrayants.

 A leur retour à Cologne, ayant distribué de l'argent à des officiers prisonniers sur parole, les deux vaillants valenciennois sont suspectés, bien à tort, de vouloir favoriser leur évasion. Ils sont arrêtés par la gendarmerie et conduits chez le général commandant la province.
M. Fribourg sort opportunément sa lettre de recommandation pour Fischer, l'aide de camp de ce général. Ils sont enfin libres de poursuivre leur voyage « Aucun Valenciennois, écrit M. Boulan, ne sera tenté de le renouveler. Il est certain que nous ne trouverions pas plus de difficultés si nous devions aller à la découverte du Nil ».

 Le 18 décembre, nos deux bons samaritains arrivent à Magdebourg « après 17 heures de chemin de fer par un temps affreux ». Ils y visitent un camp de 25 000 prisonniers. Un aumônier allemand les accompagne. « Cet ecclésiastique s'est chargé avec beaucoup de bonne volonté de remettre à 70 de nos compatriotes, dont nous avions les noms, une somme de 5 Frs, une chemise et un tricot de laine. Nous avons aussi secouru 3 officiers de francs tireurs arrivés au lieu d'internement sans argent et presque sans vêtements ».
« Il y a partout de grandes misères à secourir, nous nous efforçons de faire tout le bien que nous pouvons. Dans les hôpitaux, nos ressources ne sont malheureusement pas à la hauteur des besoins qui sont extrêmes. Les chaussures et les vêtements de laine sont les plus nécessaires. Si on pouvait expédier ici un wagon de sabots, ce serait ce qu'il y aurait de mieux; ce genre de chaussures étant inconnu en Allemagne ».

 Le 20 décembre, le Ministre de la guerre reçoit à Berlin les 2 délégués de la Croix-Rouge et les autorise à poursuivre leur bienfaisante tournée.
Le 23 décembre, M. Boulan écrit de Stettin : «Arrivés hier, nous avons aujourd'hui passé la journée dans les camps où nous avons vu une vingtaine des nôtres. Il y a 1 200 malades dans les lazarets, mais la mortalité y est relativement moins grande qu'ailleurs.
«Il y avait à midi 15 degrés en dessous de zéro et à 7 heures 18 degrés. Le pays est couvert de neige et notre barbe chargée de glaçons semble couverte d'une couche de cristal de roche ce qui n'est pas laid ».
Ils diront, à leur retour, qu'ils sont successivement tombés malades, souffrant d'épuisement et de cholérine.
« Nous avons trouvé au Camp Guillaume plus de cent des nôtres sur 20 000 prisonniers ».

Les deux délégués de la Croix-Rouge Valenciennoise écrivent le 25 décembre de Posen qu'ils ne sont pas encore parvenus à retrouver le convoi de mobiles prisonniers. Leur wagon est, suivant leur expression, comme un boulet qu'ils traînent après eux. Les autorités ne cessent, en effet, de l'expédier par des voies détournées ou de réclamer ensuite des frais de transport très élevés. Heureusement M. Fribourg qui parle fort bien l'allemand alterne les réclamations et les pourboires pour que le wagon les suive dans leur périple.
Le cœur navré, nos 2 compatriotes assistent à l'arrivée en gare de Posen de 1 200 prisonniers venant d'Orléans et qui étaient en route depuis 15 jours. Certains n'ont même pas de chaussettes ni de souliers par un froid de 24 degrés en dessous de zéro. Avant que 50 d'entre eux soient transportés à l'hôpital à moitié morts de froid, M. Fribourg arborant son brassard fait ouvrir les salles d'attente et distribuer des boissons chaudes. Six cadavres restent étendus dans le train.
MM. Boulan et Fribourg voient encore leur mission contrariée par un commissaire de police qui leur intime l'ordre de quitter la ville dans les 4 heures. Ils profitent de ce délai pour se rendre chez le gouverneur, le général Steinmetz. Son aide de camp leur montre brutalement la porte. C'est alors que M. Fribourg déploie prestement la lettre du Ministre. « Ce fut comme un talisman », écrit M. Boulan. Aussitôt cet officier les comble de politesse et les assure que la police ne les inquiétera plus.

 A Glogau, ils trouvent 15 000 prisonniers dans un état aussi lamentable que dans les camps précédents. C'est à l'aide de traîneaux qu'ils portent leurs dons de la gare jusqu'au camp. «Notre Société, écrit son président, a été la première de toutes les villes de France qui s'est portée dans ces rigoureux climats à près de 400 lieues de distance pour secourir des compatriotes aussi son nom est-il de tous, amis comme ennemis, honoré et respecté ».
MM. Boulan et Fribourg constatent « avec un sentiment d'horreur» que les prisonniers sont entassés dans des hangars non chauffés à raison de 18 hommes par 4 mètres carrés. La neige fondue tombe goutte à goutte sur ces corps vautrés dans une demi-obscurité. « La plupart n'ont ni chemise ni tricot. Il y en a qui n'ont ici qu'un pantalon de toile. Au dehors, il y a 50 centimètres de neige. Nous gelons sur place, nos jambes se refusent à marcher. Il meurt tous les jours 8 à 10 malades.
On les place à 4 dans une caisse et voilà leur bière. Affreux! Affreux !
»

Avant de quitter Glogau, M. Boulan reçoit une députation d'officiers prisonniers à qui il a donné mission de répartir les dons en nature ainsi que 1.125 Frs en argent liquide.

 Le 29 décembre, il arrive à Leipzig où cette lettre de reconnaissance lui est remise: «Les captifs de la ville de Leipzig remercient de tout leur cœur les honorables dames de Valenciennes de leur générosité envers des soldats malheureux. En retour de ce dévouement si patriotique et d'une aussi admirable charité, nous ne pouvons en ce moment leur offrir que notre éternelle reconnaissance ».

Comme des officiers leur affirment que les mobiles valenciennois doivent être internés à Minden, nos deux infatigables pèlerins s'y rendent immédiatement. Ils passent en train leur troisième nuit consécutive sans pouvoir s'étendre. Là encore nouvelle déception, les mobiles n'y sont pas. Le camp de 7 000 prisonniers de Minden a pour commandant « une espèce de brute » qui les met carrément à la porte. Par bonheur, ils trouvent un aumônier qui leur fait visiter l'hôpital. Près de 300 marins de l'armée de la Loire viennent d'arriver avec les pieds gelés. Leurs jambes sont noirâtres, un certain nombre devront être amputés. Des Sœurs de charité se dévouent au chevet de ces malheureux.
Avant de quitter l'Allemagne où il a voyagé durant 70 jours, M. Boulan écrit ces mots qui sont la digne conclusion de son odyssée:

«Pour moi, si après ce long et pénible voyage, je n'ai pu entièrement répondre aux vœux des familles, je n'aurai rien à me reprocher. J'aurai la conscience d'avoir fait, comme Français, au milieu de tous les malheurs qui accablent notre Pays, tout ce qu'il était humainement possible de faire pour le servir utilement.
Si, à Dieu ne plaise, cette terrible guerre devait encore se prolonger, je continuerai à me consacrer avec le même zèle à cette œuvre de charité, malgré les difficultés sans nombre que je rencontre à chaque pas ».

 En novembre 1871, M. Boulan est décoré de la médaille de la Croix-Rouge et reçoit un diplôme pour ce qu'il a fait en faveur des prisonniers en Allemagne.

 

 Les délégués Valenciennois étaient loin d'avoir parcouru tous les lieux de détention au vu de cette liste extrait du livre "La captivité à Ulm" : il y est question de 300.000 prisonniers. Tous les lieux ne sont pas cités, comme Stralsund, en Poméranie Prussienne.

APPENDICE N° 2
NOMS DES VILLES OÙ DES MONUMENTS ONT ÉTÉ ÉRIGÉS SUR LES TOMBES DES SOLDATS FRANÇAIS MORTS PENDANT LA CAPTIVITÉ DE 1870-1871.

Altenburg, Altona, Anclam, Arolsen, Aschersleben, Asperg, Aix-la-Chapelle, Augsburg, Ansbach, Bauzen, Bayreuth, Bielefeld, Blankenburg, Bonn, Brieg, Brandenburg, Braunschweig, Bromberg, Brucksal, Burghausen, Bamberg, Berlin, Billens (Suisse), Caditz, Cobleutz, Cœrlin, Cologne, Cosel, Colberg, Chemnitz, Creuznach, Crimitschàu, Custrin, Carlsruhe, Cassel, Dantzig, Dahlen, Diez, Dortmund, Dresde, Dillingen, Eichstaedt, Ems, Erfürt, Essen, Ellwangen, Ebcrbach (Alsace), Francfort-sur-Mein, Freising, Freiburg, Friedland, Francfort-sur-Oder, Frœschwiller, Giessen, Greifswald Germersheim, Gœrlitz, Golka, Graudenz, Gmünd, Genève, Hanau, Halberstadt, Hanovre, Heidelberg, Hof, Ichtershausen, Ingolstadt, Insterburg, lülich, Kœnigsberg, Kœnigstein, Kempten, Labes, Leipzig, Lamsdorf, Liegnitz, Lichtenfels, Lingen, Ludwigsburg, Ludwigslust, Luneburg, Lokstaedter-Heide, Landshut, Lechfeld, Lichtenfels, Marbach, Marburg, Memel, Meineigen, Merseburg, Moritzburg, Mannheim, Mayence, Munich, Morsbronn (Alsace), Naunburg, Neuburg, Neustrelitz, Niederingelheim, Nordhorn, Nordhausen, Nurnberg, Neu-Ulm Neustadt, Niederbronn, Osnabruck, Oldenburg, Ottobeuren, Parchim, Passewalk, Pappenburg, Pillau, Plauen, Posen (2 cimetières), Paderborn, Passau, Ratibor, Rendsburg, Rostock, Rudolstadt, Reichshoffen, Ratisbonne, Roggenburg, Rastadt, Schleswig, Schneidemuhl, Schwerin, Sommerfeld, Sondershausen, Stade, Stolp, Swinemünd, Schwetzingen, Spandau, Saar-Louis, Saarbruck, Tilsit, Trier, Uelzen, Uebigau, Ueberraggern, Ulm, Vallendar, Graefenhainchen, Colberg, Wesel, Glukstadt, Stargau, Polzin, Rosenberg, Aurich, Deuz, Aix-la-Chapelle, Asperg, Schoenebek, Gerolstein, Schiefelbein, Zeis. Lechfeld.


 Ci-dessous, avec le maximum de détails retrouvés et vérifiés, la liste non exhaustive (et toujours en cours) des soldats Valenciennois décédés au cours du conflit, (31 à l'heure actuelle, ordre alphabétique). Certains états-civils n'ont pu être retrouvés, comme L’ÉVÊQUE Farcy, DUPONT Alfred (acte de décès non documenté) ou BECARD Léon, alors que la municipalité a demandé copie de son acte de décès aux autorités militaires.

 Ils ne sont que 2 dans ce dernier cas, prisonniers (décédés du typhus) à ULM. Il est possible que leurs noms proviennent du livre du R.P. Joseph, aumônier des prisonniers de guerre, intitulé "La captivité à Ulm" (4e édition éditée en 1872), disponible sur Gallica, et qui se termine par une liste de soldats décédés, dont les 2 dits "de Valenciennes", BECARD Léon et LANDRECY Auguste.

A noter : Auguste LANDRECY avait été exempté lors du recrutement de sa classe (1864) comme ayant un frère "mort en service". Il s'agit de LANDRECY André, tué à la bataille de Solférino en 1859, et que j'ai ajouté à la liste.

J'indique aussi les délais de transmission de l'acte de décès qui varient de 1 à 44 mois.

 


 

  • BAILLON Constant Joseph
    Né le 17/01/1850 à Valenciennes (Nord) Faubourg de Famars,
    fils de Constant Joseph Benjamin et CHEVAL Marie Rosine Joséphine
    Soldat au 3e (Régiment de) Zouaves
    Classe 1870, centre de recrutement de Valenciennes, Matricule 4664.
    Recensé au canton de Valenciennes-nord, classe 1870
    Engagement volontaire pour la durée de la guerre le 04/09/1870 à l'age de 20 ans au 3e Régiment de Zouaves
    Décédé le 08/01/1871 à Chateauneuf-sur-Loire (Loiret) : Ambulance du Château à l'âge réel de 20 ans et 11 mois.
    Acte n°122 à Valenciennes le 21/03/1872 ; délai de transmission : 14 mois et demi

 

  • BECARD Léon
    Né le 04/11/1848 à ? (Nord) ,
    fils de ? et ?? ?
    La copie de l'acte de décès a été demandée par la Mairie de Valenciennes,
    malgré la date de naissance (sans lieu précisé) il n'a pas été possible de confirmer celle-ci ;
    la transcription traduite de l'original (en allemand) comporte une liste des objets laissés par le défunt

    Canonnier 9e Régiment d'Artillerie.
    Prisonnier de guerre, Décédé le 07/10/1870 (Typhus) à Ulm (Wurtemberg ) : Hôpital Royal de la Forteresse à l'âge sur acte de env. 22ans.
    Inhumé le 08/10/1870, Cimetière d'Ulm
    Acte n°48 à Valenciennes le 01/02/1872 ; délai de transmission : 16 mois

 

  • BIRCANN Pierre Eugène
    Né le 07/02/1825 à Valenciennes (Nord) caserne sise rue de Lille, Corridor 6, chambre 2,
    fils de Jean Henry et GOMBAUD Jeanne
    Marié à Lunéville le 01/02/1858 avec LALLEMAND Caroline Adèle.
    Le père est maitre-passementier au 1er Régiment de Hussards de Chartres, en garnison à Valenciennes en 1825.

    Lieutenant à la compagnie hors-rang du 100e Régiment d'Infanterie de Ligne
    Classe 1845.
    Recensé au canton de
    Prisonnier de guerre, Décédé le 10/04/1871 à Stralsund (Poméranie Prussienne) : Ambulance des prisonniers de guerre, Hotel Bismark à l'âge réel de 46 ans et 2 mois.
    Acte n°31 à Lunéville le 24/01/1872 ; délai de transmission : 9 mois et demi

 

  • BOUCLY Alfred Hippolyte
    Né le 22/05/1848 à Valenciennes (Nord) 47, rue de Mons,
    fils de Hippolyte Joseph et FIEVET Alexandrine Ruffine
    Brigadier de la 9e Batterie d'Artillerie Mobilisée
    Classe 1868, centre de recrutement de Valenciennes, Matricule 4602bis (voir "BOUCHY").
    Recensé au canton de Valenciennes-est, classe 1868
    Décédé le 13/01/1871 à Lille (Nord) : Hôpital Militaire à l'âge réel de 22 ans et 7 mois.
    Acte n°333 à Valenciennes le 05/04/1871 ; délai de transmission : 3 mois

 

  • BRICARD Jude Adolphe
    Né le 29/07/1831 à Valenciennes (Nord) grand-place,
    fils de Adolphe Joseph et POTONNE Marie louise Michel
    époux de MARLIVO Julienne Augustine, demeurant 10 rue Amélie Paris
    Garde National à la 3e compagnie du 105e bataillon
    Classe 1851.
    Recensé au canton de Valenciennes-nord classe 1851
    Décédé le 19/01/1871 à Rueil-Malmaison (Seine-et-Oise) : Champ de bataille de Buzenval (exhumation du 17/03/1871 non rapportée) à l'âge réel de 39 ans et 5 mois.
    Inhumé le 19/01/1871, sur le champ de bataille
    Acte n°161 à Rueil-Malmaison (Jugement du 25/08/1871, 1ère chambre du Tribunal Civil de Versailles, 1ere instance) le 13/09/1871 ; délai de transmission : 8 mois

 

  • CAFFEAU Alphonse
    Né le 11/11/1832 à Saint-Saulve (Nord) ,
    fils de Augustin et LEMAIRE Védastine
    domicilié à Valenciennes 4, rue derrière le Béguinage (actuellement rue Gabriel Hécart)
    Sous-Lieutenant de la Garde Mobile
    Classe 1852, centre de recrutement de Valenciennes.
    Recensé au canton de Valenciennes-est, classe 1852
    Décédé le 17/01/1871 à Lille (Nord) : 8,10 Place St Martin à l'âge réel de 38 ans et 2 mois.
    Acte n°565 à Valenciennes le 03/08/1871 ; délai de transmission : 6 mois et demi

 

  • CARLIN Henri Joseph
    Né le 29/07/1850 à Valenciennes (Nord) 123, Rue du Quesnoy,
    fils de François Joseph et DUVIVIER Séraphine
    Chasseur de 1ere Classe à la 1ère compagnie du 17e Bataillon de Chasseurs à Pied
    Classe 1870, centre de recrutement de Valenciennes, Matricule 3203.
    Recensé au canton de Valenciennes-est, classe 1870, demi page manquante.
    Décédé le 27/05/1871 à Versailles (Seine-et-Oise) : Hôpital militaire à l'âge réel de 20 ans et 9 mois.
    Acte n°680 à Valenciennes le 19/10/1871 ; délai de transmission : 5 mois

 

  • CARTEGNIES Vincent (CARTENI)
    Né le 05/03/1849 à Villers-Pol (Nord) ,
    fils de Vincent et Josephine (PALLE)
    Au vu du peu d'information et de leur nature, il est fort probable qu'il s'agise de CARTEGNIES Vincent Joseph, né à Villers-Pol le 05/03/1849, de Vincent et Marie Joseph MARISSAL.
    Habitant ensuite Préseau il figure dans les registres matricules de Valenciennes-Est, classe 1869.
    L'état des services porte la mention : "Manque à l'appel du 09/03/1871, (...) rayé des contrôles pour longue absence"


    Classe 1869, centre de recrutement de Valenciennes, Matricule 4903.
    Décédé le 06/05/1871 à Paris VIII° (Seine) : Ambulance du Cours la Reine à l'âge réel de 22 ans et 2 mois.
    Acte n°546 vue n°2 à Paris le 19/08/1871 ; délai de transmission : 3 mois et demi

 

  • DAYEZ Charles Emile
    Né le 11/08/1844 à Valenciennes (Nord) 6, rue des Chartreux,
    fils de Charles Joseph et LALOU Joseph Marie
    cavalier de 2e classe au 2e Régiment de Lanciers
    Classe 1864, centre de recrutement de Valenciennes.
    Recensé au canton de Valenciennes-est, classe 1864
    Engagement volontaire de 7 ans le 05/05/1862 à l'age de 17 ans au 7e Régiment de Lanciers
    Décédé le 14/11/1870 à Vichy (Allier) : Hôpital Militaire à l'âge réel de 26 ans et 3 mois.
    Acte n°702 à Valenciennes le 08/12/1870 ; délai de transmission : 1 mois

 

  • DENDELEUX Auguste
    Né le 30/06/1833 à Valenciennes (?) (Nord) 18, rue de la Vieille Poissonnerie,
    fils de Auguste Charles Rémi et HUBERT Louise
    Chevalier de la Légion d'Honneur. Cité comme mort au champ d'honneur,
    promotion de Turquie 1853-1855 de St-Cyr "Capitaine d’Infanterie, à la Garde impériale"

    Capitaine Adjudant Major au 37e Régiment de Marche
    Classe 1853, centre de recrutement de Valenciennes.
    Recensé au canton de Valenciennes-nord, classe 1853
    Engagement volontaire de 7 ans le 10/11/1853 à l'age de 20 ans au 9e Régiment d'Infanterie de Ligne
    Décédé le 31/05/1871 à Paris VIII° (Seine) : à l'âge réel de 37 ans et 11 mois.
    Inhumé le 02/06/1871, Cimetière de Montmartre (Paris).
    Transféré à Valenciennes St Roch le 23/12/1871. Tombe toujours présente.
    Acte n°78 à Valenciennes le 11/02/1873 ; délai de transmission : 20 mois

 

  • DUPONT Alfred
    Né le à - () , de et
    aucune donnée personnelle disponible ; peut-être adressé à Valenciennes comme ville de dépot du 65RIL
    Soldat à la 1ère comapgnie du 1er bataillon du 65e Régiment de Ligne, Matricule 3479.
    Décédé le 18/08/1870 (Tué à l'ennemi - Bataille de St-Privat) à Amanvillers (Moselle) : à l'âge sur acte de -.
    Acte n°192 à Valenciennes le 18/04/1874 ; délai de transmission : 44 mois

 

  • FLAMENT Constant Robert
    Né le 07/08/1822 à Valenciennes (Nord) Place du commerce,
    fils de Jean Baptiste et DECARPENTRIES Sophie Joseph
    Caporal à la 1ere compagnie du 49 bataillon de la Garde Nationale Sédentaire
    Classe 1842.
    Décédé le 05/10/1870 (Coup de feu au coté droit) à Saint-Mandé (Seine) : Hôpital Militaire de Vincennes à l'âge réel de 48 ans et 1 mois.
    Acte n°41 à Saint-Mandé le 16/06/1874 ; délai de transmission : 44 mois et demi

 

  • HARMANT Henri (HORMANT)
    Né le 05/06/1840 à Valenciennes (Nord) 18, rue basse du rempart,
    fils de Jean Baptiste et BONENFANT Thérèse
    le journal officiel du 15/07/1872 fait état d'un jugement sur requête du tribunal de Valenciennes établissant que :
    ''Harmant (Henri), soldat au 47e régiment d'infanterie de ligne; disparu le 6 août 1870 à la-bataille de Wœrth.''

    Soldat au 47e Régiment de Ligne
    Classe 1860, centre de recrutement de Valenciennes, Matricule 2243.
    Recensé au canton de Valenciennes-sud classe 1860
    Décédé le 22/09/1870 à Haguenau (Bas-Rhin) : à l'âge réel de 30 ans et 3 mois.
    Acte n°546 à Haguenau (acte originel) le 23/09/1870 ;

 

  • HAVREZ Adrien Camille
    Né le 28/03/1840 à Valenciennes (Nord) 8, rue Sainte-Croix,
    fils de non nommé et HAVREZ Albertine
    époux de BLONDEAU Thomassine Augustine, demeurant 142, rue Oberkampf, Paris 11e
    Garde National à la 2e compagnie du 9e bataillon du 19e Régiment de Marche de Paris
    Classe 1860, centre de recrutement de Valenciennes.
    Recensé au canton de Valenciennes-est, classe 1860
    Décédé le 27/01/1871 (Plaies de poitrine) à Paris IV° (Seine) : Hôpital civil Hôtel-Dieu du 4e arrondissement (place du parvis Notre-Dame Paris)
    à l'âge réel de 30 ans et 9 mois.
    Acte n°252 à Valenciennes le 29/05/1872 ; délai de transmission : 16 mois

 

  • HECQUET Léon
    Né le 21/08/1844 à Valenciennes (Nord) 37, rue du Petit Fossart,
    fils de Auguste joseph et DUEZ Rosalie Joseph (-)
    Sergent Major du 2e de Marine
    Classe 1864, centre de recrutement de Valenciennes.
    Recensé au canton de Valenciennes-est, classe 1864,"résidant à Mexico (Mexique- guerre du)"
    Engagement volontaire de 7 ans le 28/08/1861 à l'age de 17 ans au 2e Régiment de Carabiniers
    Décédé le 19/11/1870 à Brest (Finistère) : Hôpital maritime à l'âge réel de 26 ans et 2 mois.
    Acte n°360 à Valenciennes le 19/04/1871 ; délai de transmission : 5 mois

 

  • HOLAIN Joseph Donat
    Né le 27/08/1842 à Valenciennes (Nord) 3, rue St-Jacques,
    fils de Pierre Joseph et BONHOME Catherine
    Soldat au 2e Régiment de Zouaves
    Classe 1862.
    Recensé au canton de Valenciennes-sud classe 1862
    Décédé le 01/11/1870 à Josnes (Loir-et-Cher) : Camp de Josnes à l'âge réel de 28 ans et 2 mois.
    Acte n°30 à Josnes (acte originel) le 02/11/1870 ;

 

  • LANDRECY Auguste
    Né le 22/02/1844 à Valenciennes (Nord) rue des Canonniers,
    fils de Emile Louis Joseph et BELOT Thérèse
    La copie de l'acte de décès a été demandée par la Mairie de Valenciennes
    Soldat 18e Bataillon de Chasseurs
    Classe 1864, centre de recrutement de Valenciennes.
    Recensé au canton de Valenciennes-nord classe 1864
    Prisonnier de guerre, Décédé le 12/10/1870 (Typhus) à Ulm (Wurtemberg ) : Hôpital Royal de la Forteresse à l'âge réel de 26 ans et 7 mois.
    Inhumé le 13/10/1870, Cimetière d'Ulm
    Acte n°276 à Valenciennes le 12/06/1872 ; délai de transmission : 20 mois

 

  • LANDRECY André Emilien
    Né le 15/07/1834 à Valenciennes (Nord) 10, Rue Basse du Rempart,
    fils de Emile Louis Joseph et BELOT Thérèse
    frère de LANDRECY Auguste
    Soldat au 1er bataillon de la 1ère compagnie du 6e Régiment de Ligne
    Classe 1854, centre de recrutement de Valenciennes, Matricule 6841.
    Recensé au canton de Valenciennes-sud, classe 1854
    Engagement volontaire de 7 ans le 27/01/1855 à l'age de 20 ans au 92e Régiment d'Infanterie de Ligne
    Décédé le 24/06/1859 (Coup de feu à la poitrine) à Solférino (Italie) : à l'âge réel de 24 ans et 11 mois.
    Acte n°586 à Valenciennes le 25/11/1859 ; délai de transmission : 5 mois

 

  • LECAILLE Louis Joseph
    Né le 28/07/1849 à Valenciennes (Nord) 9, Chemin des Bourgeois,
    fils de Philippe Joseph et BILOUX Françoise
    Soldat au 6e Régiment de Ligne
    Classe 1869, centre de recrutement de Valenciennes, Matricule 5150.
    Décédé le 04/02/1871 à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) : Hôpital temporaire à l'âge réel de 21 ans et 6 mois.
    Acte n°567 à Valenciennes le 04/08/1871 ; délai de transmission : 6 mois

 

  • LECERF Augustin
    Né le 31/12/1848 à Le Quesnoy (Nord) "Faubourg de Ruesnes",
    fils de Evariste et DERVILLERS Renelde
    Garde Mobile à la 7e compagnie du 1er bataillon du 46e Régiment de Mobiles du Nord
    Classe 1868, centre de recrutement de Avesnes (?).
    Décédé le 08/03/1871 à Saint-Lô (Manche) : Hospice à l'âge réel de 22 ans et 2 mois.
    Acte n°434 à Valenciennes le 16/05/1871 ; délai de transmission : 2 mois

 

  • LEDENT Alfred
    Né le 17/01/1844 à Valenciennes (Nord) route d'Aubry,
    fils de Louis et SERUZELLE Célénie
    (décédé durant siège de Metz du 20 août au 28 octobre 1870)
    Soldat à la 3e compagnie du 1er bataillon du 9e Régiment d'Infanterie
    Classe 1864, centre de recrutement de Valenciennes.
    Recensé au canton de Valenciennes-nord classe 1864
    Décédé le 09/09/1870 à Metz (Moselle) : Ambulance du Sacré-Cœur à l'âge réel de 26 ans et 7 mois.
    Acte n°2294 à Metz (acte originel) le 09/09/1870 ;

 

  • L'EVEQUE Farcy
    Né le 14/02/1844 à Valenciennes (Nord) ,
    fils de Pierre Joseph et DURAND Ben(o)îte
    Aucune donnée (naissance filiation) n'a pu être retrouvée.
    Elles sont données ici à titre indicatif de l'acte de décès

    Matelot aux Equipages de la Flotte
    Classe 1864, centre de recrutement de Valenciennes.
    Décédé le 13/02/1871 à Paris V° (Seine) : à l'âge réel de 26 ans et 11 mois.
    Acte n°21 à Paris (acte originel) le 16/02/1871 ;

 

  • MARCHEUX Adolphe Henri
    Né le 24/03/1845 à Valenciennes (Nord) 51, rue Basse du Rempart,
    fils de Henri Joseph et MIRE Désirée Joseph (Joséphine)
    L'acte de décès original le place au 5e de Ligne 3e Bataillon 1ere Compagnie
    Soldat à la première compagnie du 2e bataillon du 2e de ligne
    Classe 1865, centre de recrutement de Valenciennes.
    Recensé au canton de Valenciennes-sud, classe 1865
    Décédé le 11/09/1870 à Lille (Nord) : 104, quai de la Basse Deûle à l'âge réel de 25 ans et 5 mois.
    Acte n°98 à Valenciennes le 28/01/1871 ; délai de transmission : 4 mois et demi

 

  • MARISCAL Alfred
    Né le 27/12/1850 à Valenciennes (?) (Nord) 9, rue des Anges,
    fils de Joseph et LHUISSIER Créscence
    Chasseur de 2e classe au 17e Bataillon de Chasseurs à Pied
    Classe 1870, centre de recrutement de Valenciennes, Matricule 3191.
    Recensé au canton de Valenciennes-nord, classe 1870
    Décédé le 19/01/1871 (Blessures reçues à la bataille de St-Quentin) à Saint-Quentin (Aisne) : à l'âge réel de 20 ans.
    Acte n°40 à Valenciennes le 16/01/1874 ; délai de transmission : 36 mois

 

  • PINET Henri Jacques
    Né le 24/07/1848 à Valenciennes (Nord) 19, Rue des Anges,
    fils de Joseph Antony et EVE Marie Anne Virginie
    L'acte de décès transcrit a été rédigé à Besançon (Doubs) et place le décès au 01/09/1870,
    sur la foi de 3 témoins, sans connaissance probablement de l'acte établi à Charleville.

    Caporal de 2e classe de la 5e compagnie du 2e bataillon 30e Régiment de Ligne
    Classe 1868, centre de recrutement de Valenciennes, Matricule 3364.
    Recensé au canton de Valenciennes-sud, classe 1868
    Engagement volontaire de 7 ans le 30/06/1868 à l'age de 19 ans au 30e Régiment d'Infanterie
    Décédé le 04/10/1870 (Eclat d'obus à la poitrine reçu à la bataille de Sedan.) à Charleville (Ardennes) : Ambulance du Petit-Bois à l'âge réel de 22 ans et 2 mois.
    Acte n°629 à Valenciennes le 13/09/1871 ; délai de transmission : 11 mois

 

  • PREVOST Auguste
    Né le à Valenciennes (?) () , de et

    Classe 1868.
    Décédé le 04/01/1871 à Paris IX° (Seine) : Ambulance municipale du 9e arrondissement, 29, rue Condorcet
    à l'âge sur acte de 22 ans.
    Acte n°73 à Valenciennes le 10/02/1873 ; délai de transmission : 25 mois

 

  • REBOUL Toussaint
    Né le 04/06/1837 à Valenciennes (Nord) Caserne Poterne, 2e batiment, corridor n°6, chambre 4,
    fils de Joseph François et COURTOIS Elisabeth (Bernardin sophie)
    décoré de la médaille militaire
    époux de Léontine Marie Gabrielle GREGOIRE
    sa filiation est celle des actes de naissance et mariage.
    Le journal officiel du 12/08/1900 fait etat d'une succession en cours.

    Gendarme, Sergent surveillant à Prison militaire du Fort Lamalgue
    Classe 1857.
    Décédé le 07/09/1870 à Toulon (Var) : Hôpital Maritime à l'âge réel de 33 ans et 3 mois.
    Acte n°1753 à Toulon (acte originel) le 07/09/1870 ;

 

  • RENAULT Amédée Louis
    Né le 30/12/1834 à Valenciennes (Nord) 16, Rue du Boudinet (actuelle Rue Honhon),
    fils de Joseph Stanislas et ESNAULT Anne Louise
    Lieutenant au 2e escadron du 3e Régiment de Chasseurs d'Afrique, Armée du Rhin.
    Classe 1854, centre de recrutement de Valenciennes.
    Décédé le 02/09/1870 (Coup de feu à la poitrine) à Sedan (siège de) (Ardennes) : (probablement à la charge d'Illy) à l'âge réel de 35 ans et 8 mois.
    Acte n°601 à Valenciennes le 26/08/1871 ; délai de transmission : 12 mois

 

  • SOYE Joseph Horace Charles
    Né le 27/12/1825 à Valenciennes (Nord) rue de Famars,
    fils de Jean Louis et BRIOT Louise Caroline
    Le père dans l'acte de naissance : "Maréchal de Camp Baron SOYE, lieutenant du Roi de la place de Valenciennes"
    Acte de décès rédigé le 28/07/1871 à Oran (Algérie) selon 3 témoignages.

    Chef de bataillon du 2e Régiment de Zouaves
    Classe 1845, centre de recrutement de Valenciennes, Matricule 340.
    Décédé le 06/08/1870 à Froeschvillers (Bas-Rhin) : à l'âge réel de 44 ans et 7 mois.
    Acte n°568 à Valenciennes le 04/08/1871 ; délai de transmission : 12 mois

 

  • TRANCHANT Jules
    Né le 28/12/1850 à Saint-Amand (Nord) Rue de Valenciennes,
    fils de Jean Baptiste et DEBAISIEUX Colette
    Son nom figure au monument aux morts du cimetière de St-Amand
    Caporal de 2e classe au 65e Régiment de Ligne
    Classe 1870, centre de recrutement de Valenciennes, Matricule 7466.
    Décédé le 03/01/1871 (Coups de feu à la poitrine) à Bapaume (Pas-de-Calais) : à l'âge réel de 20 ans.
    Acte n°159 à Valenciennes le 11/04/1872 ; délai de transmission : 15 mois

 

  • VALLIANT Jean Baptiste (VAILLANT)
    Né le 20/04/1849 à Valenciennes (Nord) 4, rue des Chartreux,
    fils de Désiré Adolphe et URBAIN Sophie Adèle
    Garde Mobile de la 6e compagnie du 10e Bataillon du Nord
    Classe 1869, centre de recrutement de Valenciennes, Matricule 4961bis.
    Recensé au canton de Valenciennes-est, classe 1869
    Décédé le 18/12/1870 à Arras (Pas de Calais) : Ambulance des sourds-muets à l'âge réel de 21 ans et 7 mois.
    Acte n°363 à Valenciennes le 20/04/1871 ; délai de transmission : 4 mois

 

  • VANDEMBOSSCHE Auguste (WANDEBOS(S))
    Né le 05/01/1835 à Valenciennes (Nord) rue Malplaquet,
    fils de Jean Philippe Joseph et TIÉCHON Aimé Henriette Josèphe
    titulaire de la médaille d'Italie (2d Empire)
    Soldat au 5e Bataillon de Chasseurs à Pied, 11e Régiment de Marche
    Classe 1855, centre de recrutement de Valenciennes.
    Décédé le 30/12/1870 à Blois (Loir-et-Cher) : Ambulance du Château à l'âge réel de 35 ans et 11 mois.
    Acte n°1129 à Blois (acte originel) le 31/12/1870 ;

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
Publicité