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Les civils du Valenciennois dans la Grande Guerre 1914-1918
27 juin 2018

04-Soldats français inhumés dans l'actuel carré militaire St Roch : de FERRAND à GRICH

◄ De CASTELAIN à FAVERGEON

FERRAND Léon Eugène
FOUQUÉ Florent Jean Marie
FRANQUET Emile Alexandre Amédée
GAUDRAN ou A. GUNDRAU
GERVOISE Elie Désiré
GOUHIER René Georges
GOUMENT Gaston Marcel
GRENET Barthélémy Edouard
GRENON Fernand
GRICH Addah

De GROFFOS à LEGRAND E. ►

 

Tombe n° 264 :

 

Source: Externe
FERRAND Eugène
Caporal 16e R.I.T.
Mort pour la France le 7-9-1914

FERRAND Léon Eugène né le 23/02/1878 à Montrouge (Seine) de Eugène Jean François et PIQUET Emélie Amandine. Matricule 913 classe 1898 il est incorporé le 15/11/1899 au 25e RI. nommé caporal en 1900, libéré en 1902, il accomplit deux périodes au 120e RI en 1905 et 1908.
Rappelé au 16e RIT lors de la mobilisation, il est porté disparu le 3/10/1914 à Courcelles-le-Comte (Pas-de-Calais). Voir le Journal de Marches et opérationsdu régiment pour les combats de Courcelles.
Décédé de ses blessures à l'hopital tenu au collège Notre-Dame rue des Capucins à Valenciennes le 7 octobre 1914, il est inhumé au cimetière St Roch, tombe commune, cercueil 11, avant la création de l'actuel carré militaire en 1923.

Plaque cimetière allemand
Cliquer pour accéder à la plaque de 1914

Comme toujours en pareil cas, la famille, qui n'a pas de nouvelles, s'adresse à la croix-rouge depuis la zone libre :

fiche cicr

 C'est en 1917 que l'annonce, au vu du document allemand leur sera faite :

DC7031

Son nom figure sur le livre d'or de Pantin dont le monument au cimetière communal porte cette seule inscription :

"LA PAIX GARDE EN SON LIVRE D'OR LES NOMS DE CEUX QUI SONT MORTS POUR ELLE"
     Une demande a été conjointement déposée auprès des sites Sépultures de Guerre et du Pôle des sépultures pour la mise à jour de la date de décès.

Tombe n° 226 :

Source: Externe
FOUQUET Florent
26e R.I.T.
Mort pour la France en 1914-1918

FOUQUÉ Florent Jean Marie né le 10/06/1875 à Vieuvy (Mayenne) de Florent et LAMBERT Virginie. Matricule 452 classe 1895, dispensé comme ainé de 7 enfants, il effectue un an de service au 130e RI en 1896-97, ainsi qu'une période en 1905 et une seconde au 26e RI en 1910.

Rappelé à l'activité au 26e Régiment d'Infanterie Territoriale à la mobilisation, il est tué "à l'ennemi" à Crespin (Nord) le 24 août 1914 alors que le régiment tente -avec d'autres forces en nombre très insuffisant- de contenir la première armée allemande qui vient de traverser la Belgique, pourtant neutre. Voir le cas de PREVERT sur ce blog

Comme toujours en pareil cas, les proches tentent une recherche depuis la France libre auprès du CICR : il existe deux fiches, l'une au nom de FOUQUET, renvoyant à une liste de Gazette des Ardennes du 11/06/1916, l'autre à celui de FOUQUÉ sans référence :

F Fouqué


Il est inhumé à Crespin avant d'être transféré dans l'actuel carré militaire du cimetière St-Roch créé en 1923.
Son nom figure au monument aux morts d'Hercé :

MaM Hercé

Une demande de rectification du nom et de la date de naissance a été déposée auprès du site des Sépultures de guerre.
Une demande de rectification du nom a été déposée auprès du pôle des Sépultures.


Tombe n° 217 :

Source: Externe
FRANQUET Emile
Sergent-Major 26e RIT
Mort pour la France 26-8-1914

FRANQUET Emile Alexandre Amédée né le 31/07/1876 à Paris (13e) de Napoléon Amédée Émile et RENAUX Alexandrine Elvire. Matricule 1148 classe 1896 au recrutement de la Seine (3e bureau), il effectue un service de 3 ans de 1897 à 1900 au 94e RI durant lequel il passe successivement caporal, sergent puis sergent-fourrier il effectue ensuite 2 périodes au 103e RI en 1903 et 1906, puis une dernière au 130e en 1912, à l'issue de laquelle il est nommé sergent-major.
Rappelé au 26e RIT à la mobilisation, il est porté disparu le 26 août 1914 à Crespin (Nord) alors que le régiment tente -avec d'autres forces en nombre très insuffisant- de contenir la première armée allemande qui vient de traverser la Belgique, pourtant neutre. Voir le cas de PREVERT sur ce blog.

Son état des services le déclare Mort pour la France "antérieurement au 11/06/1916 et inhumé au cimetière de Crespin". Il a fallu en fait attendre la publication d'une liste dans la Gazette des Ardennes du 11/06/1916 pour avoir indication de son décès, l'acte ayant été rédigé à Crespin, en zone occuppée jusqu'en novembre 1918. Les informations de ce type paraissant dans le journal de propagande se sont toujours révélés fiables.

    En attendant la famille s'était adressée à la croix-rouge qui ne disposera que de la même information, qui ne pouvait être connue en zone libre, la gazette y étant prohibée.

Fiche Franquet

Malgré la disponibilité de l'acte de décès après l'armistice, un jugement sera émis par le tribunal de la Seine en 1919 et transcrit à Paris 20e le 17/02/1920....

Son nom figure au Mémorial parisien de la Grande Guerre ainsi qu'au monument aux morts de Cachan (Val-de-Marne) où son acte de décès situe sa résidence.


Tombe n° 244 :

Source: Externe
GAUDRAN ou A. GUNDRAU
sergent 61e RI
Mort pour la France 15-7-1915

GAUDRAN ou A. GUNDRAU : pourquoi cette hésitation sur le nom quand on a la date de décès et le régiment, d'autant que l'acte de décès en mairie de Valenciennes précise Alphonse Gundran, sergent à la 8e compagnie du 61e Chasseurs Français (sic) décédé à l'ambulance du Lycée Henri Wallon, place de la République. En fait on ne sait si l'information provient des papiers de l'intéressé ou d'une transmission orale prêtant à confusion, et cette ambigüité est confortée par les documents du CICR où au et an sont souvent associés ; une fiche renvoie vers deux pages de registre qui ajoutent à la confusion :

fiche

DC2816
GANDRAU Alphonse

DC2983
GAUDRAU Alfons

Les deux confirment clairement le décès le 15/07/1915 par péritonite (Bauchfellentzündung) d'un sergent du 61e bataillon de chasseurs blessé par [éclat] de projectile d'artillerie dans la région lombaire droite (rechte Lendengegend) à l'hopital d'étape de la 6e armée situé à Valenciennes, ville principale de l'étape (E.H.O.), et inhumé (beerdigt) à Valenciennes
Un renseignement supplémentaire apparaît : geboren (né) 1887 Troyes (Champagne). Cependant aucun nom ne correspond dans les tables décennales 1883-92. (information qui n'aurait pas été transmise de l'hôpital vers la mairie ?)

Cependant en parcourant les registres de décès sans avoir de fiche de référence on trouve la preuve d'une inhumation dans le cimetière d'honneur allemand, Tome commune B avec cercueil n°35 au nom de GOUDRAU Alfonse :

dc7050

GAUDRAN ou A. GUNDRAU ou GANDRAU Alphonse ou GAUDRAU Alfons ou GOUDRAU Alfonse : 5 versions pour un même soldat ! On peut étendre la recherche à des noms phonétiquement voisins sur la base d'une prononciation gutturale, (Coudrau, Goudron sans plus de succès) ou en acceptant de modifier ou de perdre une information, mais rien de concluant pour autant.

          Je ne dispose pour l'instant que d'une seule hypothèse sérieuse que je développerai si aucune autre information n'apparait :
GAUTHROT Alphonse, sergent au 60e BCP, de Barberey (Aube), disparu le 11/07/1915 à Souchez

En tout état de cause et au vu de l'acte de décès, une demande de rectification a été formulée auprès du site sépulture de guerre et du pôle des sépultures.


Tombe n° 271 :

Source: Externe
GERVOISE Elie
Mort pour la France en 1914-1918

GERVOISE Elie Désiré né le 25 août 1876 à Paris 15e de Edouard Joseph et PERDRIAT Jeanne Françoise. Matricule 1454 classe 1896, centre de Paris 3e bureau, il effectue un service militaire de 3 ans au 67e RI de 1897 à 1900 suivi de 3 périodes au 26e RI en 1903 puis au 130E RI en 1906 et 1912. Rappelé à l'activité en Août 1914 au 26e RIT qu'il rejoint le 5, il sera tué le 24 août 1914 à Crespin alors que le régiment tente -avec d'autres forces en nombre très insuffisant- de contenir la première armée allemande qui vient de traverser la Belgique, pourtant neutre. Voir le cas de PREVERT sur ce blog.

     Sans nouvelle, la famille qui réside en zone libre s'adresse à la croix-rouge : 2 fiches de recherches (et une 3e plus classique) reprennent les renseignement fournis par la famille et la même référence, celle d'une liste parue dans la Gazette des Ardennes N°206 du 11/06/1916.

fiche2  fiche3


Ce n'est qu'en août 1916 que la famille sera prévenue. Bien qu'il existe un acte de décès à Crespin qui restera en zone occupée donc inaccessible jusqu'à l'armistice, la famille obtiendra un jugement le 20 juillet 1917, transcrit le 24/09/1917 à Paris-15e, déclarant constant le décès.

Son nom figure sur la plaque de l'ancien abattoir de Vaugurard :

MBV
Merci à Michev pour la photo

     Une demande a été conjointement déposée auprès des sites SdG et Pole des sépultures pour la mise à jour de la date de décès.
  Une double transcrition a été réalisée auprès du site MDH pour la rectification de la date de transcription du jugement de décès.


Tombe n° 278 :

Source: Externe
GOUHIER René
Soldat 126e RI
Mort pour la France le 1-10-1915

GOUHIER René Georges né le 9 juillet 1897 à Bézu St-Eloi (Eure) de Victor Ernest Alfred et VIELLE Léontine Désirée. Soldat au 126e RI, 1er bataillon, 1ère Compagnie, classe 1917 matricule 5094 (Seine 4e Bureau). En réalité il est "de la classe 1914" car il s'est engagé à 17 ans, pour la durée de la guerre, le 7 septembre 1914 à Paris (12e) au 126e RI. Il est porté disparu le 25 septembre 1914 à Neuville-St-Vaast (Pas-de-Calais). Le régiment prend part à cette date à une attaque dans le secteur de Thélus.

Il est décédé le 1/10/1915 à l'hôpital d'étape de la 6e Armée situé au Lycée Henri Wallon, place de la République à Valenciennes.

Les archives du CICR disposent de plusieurs fiches à son nom, dont deux font référence à un soldat présumé anglais (référence PA). N'ayant pas été évacué vers le camp de Wahn (mention d'ailleurs biffée sur la fiche MdH), c'est, malgré son nom sur une liste à en-tête du camp, à Valenciennes que la totalité de la captivité s'est déroulée. On apprend à la lecture des registres que le décès est dû à un empoisonnements du sang consécutif à la perforation du poumon par une balle.


Le document le plus détaillé énumère la liste des objets personnels qui seront restitués à la famille qui sera prévenue le 29/2 ou le 17/4/1916.

Fiche R

Il est inhumé dans le cimetière d'honneur édifié par les Allemands, tombe B, cercueil 41, avant d'être déplacé dans l'actuel carré militaire édifié en 1923.

Curieusement, l'acte de décès enregistré à Valenciennes en 1915, et resté inaccessible à la famille (en zone libre) jusqu'à l'armistice, ne semble pas avoir été pris en compte : il a fallu un jugement du tribunal de la Seine en décembre 1920 pour déclarer ce décès constant.

Son état des service fait état de deux décorations :
La médaille militaire à titre posthume et la croix de guerre avec étoile d'argent.

JO 19230104 bis

Son nom figure au monument aux morts de Montreuil (Seine St-Denis)


Tombe n° 291 :

Source: Externe
GOUMENT Gaston
Soldat 5e Génie
Mort pour la France en 1914-1918

GOUMENT Gaston Marcel, né le 14 septembre 1897 (et non le 4 comme indiqué sur son état des services et  sa fiche MDH) à Bretteville (du-Grand-Caux, Seine-Inférieure) de François Georges et MARICAL Alphonsine Amélie. Matricule 1449 classe 1917 au Havre, il est incorporé par anticipation le 10/01/1916 au 5e régiment de Génie, composé de "sapeurs du chemin de fer" affectés aux :

  • Missions d'avant-garde et d'arrière-garde.
  • Constructions de lignes nouvelles (lignes stratégiques), déviations, voies d'A. L. G. P. et de raccordements militaires, création, amélioration, agrandissement de gares.
  • Constructions d'embranchements particuliers pour les divers services : Artillerie, génie, intendance, « aviation », service de santé, service des routes.
  • Réparation d'ouvrages d'art détruits et construction d'ouvrages d'art neufs.
  • Exploitation et entretien de lignes préexistantes ou de lignes nouvelles.
  • A ce rôle de la guerre s'est ajouté, dès l'armistice, le travail considérable de remise en état des voies ferrées dans les régions libérées, où l'ennemi les avait, avant sa retraite, presque complètement détruites.

 C'est dans ce dernier cadre que l'on retrouve ces soldats dans le Valenciennois. 3 y sont décédés en 1919.

Gaston GOUMENT décède à 7h du matin le 09/03/1919 à l'Hopital Général de Valenciennes de broncho-pneumonie grippale (grippe dite espagnole). Son décès est enregistré à Valenciennes où il est inhumé.

Son nom figure (écrit GOUEMENT) sur le Mémorial aux Morts à l'intérieur de l'église de Bretteville du Grand Caux et est gravé "GOUMENT M." sur le monument aux morts de cette commune.

  Une demande a été déposée auprès du site Sépultures de Guerres pour mise à jour de sa date de décès.
  Une demande a été déposée auprès du Pole des Sépultures pour inscription de sa date de décès.


Tombe n° 301 :

Source: Externe
GRENET Barthélémy
Soldat 21e R.I.T
Mort pour la France le 24-8-1914

GRENET Barthélémy Edouard né le 17/02/1874 à Beaubec la Rosière (Seine-Inférieure) de Pierre Alcibiade et LEGRAIN Odile. Matricule 1504 classe 1894 à Rouen, il effectue un service de 3 ans (1895-98) au 36e RI, puis deux périodes en 1901 et 1904 au 39e RI et au 21e RI en 1911. Rappelé au 21e R.I.T. le 4 août 1914, il est tué à Orchies (Nord) le 24 août. Le 21e régiment d'infanterie territoriale faisait partie du très mince rideau de forces alliées opposées aux armées allemandes arrivant par la Belgique malgré sa neutralité.
"La tâche confiée aux Territoriaux était visiblement au-dessus de leurs forces, car le front à garder était immense, et l’extrême nécessité explique seule que le Commandement ait eu recours à un pareil expédient."

Voir le cas de ABRAHAM du 21e RIT pour les combats d'Orchies.


L'acte de décès dressé à Orchies le 26 août n'est plus disponible, la ville ayant été délibérément incendiée par représailles le 27 septembre 1914 sur ordre du Major Von Mehring. Quelques actes ont pu être reconstitués, car la municipalité avait dès le 10 septembre 1914 adressé copie de ces actes à la mairie de résidence, dont celui de Grenet à Beaussault (Seine-Inférieure). Malheureusement, en dépit des recherches effectuées en 1923, celui de Bathélémy Grenet ne sera pas reconstitué.

Il y est dit que "Le 25 août 1914 à 6h30 du matin, nous avons constaté dans le champ situé derrière la maison habitée par monsieur Cordonnier, faubourg de Douai qu'un soldat du 21e RIT en garnison à Rouen, porteur d'une plaque d'identité portant les indications suivantes : Grenet Barthelemy, 1894, Rouen (nord) 1504 est décédé hier lors de l'entrée des Allemands à Orchies"

     Enterré initialement à Orchies, Grenet Barthélémy sera réinhumé au carré militaire St-Roch à Valenciennes lors de la création de celui-ci en 1923.

Son nom figure au monument aux morts de Beaussault :

MaM


Tombe n° 243 :

Source: Externe
GRENON Fernand
Soldat 3e Escadron du Train
Mort pour la France le 6-12-1918

GRENON Fernand né le 4 février 1886 à Ste-Gemme (Charente-Inférieure) de Jean et BOUTIN Marie. Matricule 1163 classe 1906, classé "service auxiliaire" suite à une ancienne fracture, il est affecté au 14e Bataillon d'Artillerie à Pied pour 2 ans en 1907. Rappelé à l'activité il arrive le 3/08/1914 au régiment d'infanterie de Saintes (6e RI). Il passe au service automobile du 13e Régiment d'artillerie en 1915, au 19e Escadron du Train en 1916, puis au 3e Escadron du Train des Équipages Militaires, convoi automobiles Section TP (transport de personnel) n° 111 le 22/06/1917.

Il décède à l'Hotel-Dieu de Valenciennes le 6/12/1918 de grippe (probablement celle dénommée "espagnole") selon sa fiche MDH.

Il est inhumé à Valenciennes au cimetière St Roch et sera transféré dans le carré militaire lors de sa création en 1923.

Son nom ne semble figurer sur aucun monument aux morts.


Tombe n° 212 :

Source: Externe
GRICH Addah
Soldat 6e Tir.
Mort pour la France le 9-3-1919

GRICH Addah "soldat de deuxième classe Matricule 19468 au 6e Régiment de Tirailleurs Algériens, classe 1917 au recrutement d'Alger, est décédé à l'Hopital Général le 11 mars 1919" selon l'acte de décès dressé le 12 à Valenciennes, cause de la mort : grippe, congestion pulmonaire, complication cardiaque selon sa fiche Mémoire des Hommes (grippe de type H1N1 dite "espagnole").

Ce sont les seules informations dont on dispose.
Le "6e tirailleurs" s'est vu confier -selon son historique- des tâches plus modestes que la poursuite de l'ennemi ou l'occupation de la Rhénanie : la mise à disposition des municipalités pour des travaux d'utilité publique dans les régions libérées qui manquent de tout.
Le 6e régiment "de marche" de Tirailleurs Algériens (ex 3e régiment mixte de zouaves depuis mai 1918) a été dirigé sur Valenciennes le 24 Janvier 1919, il y relève à partir du 27 le 165e RI parti pour la garde sur le Rhin. Les bataillons sont affectés essentiellement à la surveillance frontalière et au service de place.

     Une demande a été conjointement déposée auprès du site SdG et du Pole des sépultures pour la mise à jour de la date de décès. (11 et non 9 mars 1919)


 

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GRENET Barthélémy Edouard
GRENON Fernand
GRICH Addah

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